Lancement officiel du programme d’appui au secteur de l’eau et au renforcement de la résilience au changement climatique au Burundi (PASEREC) phase 1.
Le Ministre des Finances, du Budget et de la Planification Economique a procédé au lancement officiel du Programme d’Appui au Secteur de l’Eau et au Renforcement de la Résilience au Changement climatique au Burundi (#PASEREC) phase 1, le jeudi 10 octobre 2024. Le Coût total de ce Projet est de 11,46 Millions d’Unités de Compte (UC) équivalent à environ 15 millions de Dollars américains. Il sera exécuté en 4 composantes dont:
- Développement des infrastructures hydrauliques et d’Assainissement résilientes aux changements climatiques ;
- Appui à la reforme sectorielle, organisationnelle et au renforcement des capacités ;
- Appui au renforcement de la résilience au changement climatique et à la mise en valeur durable de la ressource en eau ;
- Renforcement des capacités, Coordination et Gestion du PASEREC.
- L’approvisionnement en eau potable et mise en place des latrines écologiques pour les communautés ;
- L’aménagement des bassins versants pour l’exploitation et rentabilité agricole ;
- Le raccordement des infrastructures socio-économiques (écoles, centres de santé) en eau et infrastructures d’assainissement ;
- La promotion de l’entreprenariat des jeunes et des femmes par la mise en place et opérationnalisation des coopératives agro pastorales ;
- La formation et l’accompagnement de plus de 2 600 femmes aux nouvelles techniques d’irrigation et aux métiers verts ;
- La mise à jour des politiques, stratégies et plans d’action des secteurs de l’eau, de l’assainissement en intégrant toutes les parties prenantes y compris le secteur privé ;
- Appui technique au développement et à la mise en œuvre des outils de la GIRE (système d’alerte précoce, Suivi et Evaluation, etc.) en tenant compte de la disponibilité en ressource eau et à la vulnérabilité au changement climatique ;
- Introduction des outils et technologies couplées avec le renforcement des capacités institutionnelles pour pallier aux risques climatiques.